Travaux universitaires

Le cursus de Francis est atypique.

Jusqu’en 1964, date à laquelle il passe le bac, il suit une scolarité normale : la maternelle rue Brochant, la communale rue Truffaut, dans le 17^e arrondissement de Paris, puis le lycée à Jacques Decour. C’est un bon élève. C’est le temps aussi où il suit les cours de l’Atelier des moins de 15 ans aux Arts décoratifs de Paris.

Après 1964, il n’obtient plus de diplôme, même s’il est inscrit en Lettres modernes à la faculté de Nanterre de 1964 à 1968.

En 1970, il passe de l’autre côté du bureau : il enseigne comme assistant aux Beaux-Arts, jusqu’au moment où il tombe malade.

Son cursus universitaire ne reprend qu’en 1988, à la Sorbonne, en Lettres modernes. Il a 42 ans, et vient de subir une longue période de maladie mentale, d’internement, d’errance, de galère. Entre 1988 et 1993, il effectue un parcours sans accident,  sans interruption ni redoublement, même s’il n’est pas un étudiant particulièrement brillant (une seule de ses unités de valeur obtient la mention « très bien ») : DEUG en 1988 et 1989, licence entre 1989 et 1991, maîtrise en 1992, et DEA en 1993. Il est aussi admissible à l’agrégation d’art plastiques, mais selon ses récits, il sabote son oral : la perspective de passer son temps dans un collège le fait reculer.

Les textes sont au format pdf

Mémoire de maîtrise (1992)

Diplôme d’études approfondies (1993)

Djinn ou les desseins de la grammaire

Ce texte a été retrouvé sous la forme d’une sortie d’imprimante (à aiguilles, donc ancienne) dans le fouillis de Francis à Annoville. Il a tous les traits d’un travail universitaire, mais rien n’indique dans quel cadre il a été rédigé, ni si il a été sanctionné par un diplôme quelconque.